Petit jeu rp

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux. L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait de basculer.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux. L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regadèrent.

Alors qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas etre une selle, tu es un Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux. L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regadèrent.

Alors qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas etre une selle, tu es un Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges écarlates.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux. L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regadèrent.

Alors qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas etre une selle, tu es un Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges écarlates.


Dans sa course effrenée, elle sentait les ombres se refermées sur elle. Arriverait elle à temps ?

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux. L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regadèrent.

Alors qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas etre une selle, tu es un Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges écarlates.

Dans sa course effrenée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"



Plus agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et, sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

Plus agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et, sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

Tout a coup elle fit volte face, sentant une présence derrière elle.........

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son
geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a
qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons
blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on
va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

Plus
agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal
dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et,
sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira
vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute
confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de
la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

Tout a coup elle fit volte face, sentant une présence derrière elle.........

Les malandrins, ayant pris l'attitude désinvolte de la demoiselle pour une grave insulte, s'étaient lancés à sa poursuite. Bien que grossier et mal équipés, ils ne manquaient visiblement pas de ressources... Du moins pour poursuivre un gibier facile d'accès en apparence.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son
geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a
qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons
blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on
va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

Plus
agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal
dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et,
sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira
vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute
confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de
la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

Tout a coup elle fit volte face, sentant une présence derrière elle.........

Les malandrins, ayant pris l'attitude désinvolte de la demoiselle pour une grave insulte, s'étaient lancés à sa poursuite. Bien que grossier et mal équipés, ils ne manquaient visiblement pas de ressources... Du moins pour poursuivre un gibier facile d'accès en apparence.

Le temps pressait mais elle savait qu'ils ne l'a laisserait pas filer sans obtenir un menu butin ou le souvenir de quelques bons instants. Elle tira sur les rênes puis mis lentement pied à terre tout en amenant sa main sur le manche de son sabre. Ce dernier, bien qu'encore dans son fourreau se mit à briller sur toute sa longueur.

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme
posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et
cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le
troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers
l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à
toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En
regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans
le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors
qu'a la table proche: 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans
préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se
précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile
et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants
les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son
geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a
qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons
blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on
va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

Plus
agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal
dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et,
sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira
vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute
confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de
la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

Tout a coup elle fit volte face, sentant une présence derrière elle.........

Les malandrins, ayant pris l'attitude désinvolte de la demoiselle pour une grave insulte, s'étaient lancés à sa poursuite. Bien que grossier et mal équipés, ils ne manquaient visiblement pas de ressources... Du moins pour poursuivre un gibier facile d'accès en apparence.

Le temps pressait mais elle savait qu'ils ne l'a laisserait pas filer sans obtenir un menu butin ou le souvenir de quelques bons instants. Elle tira sur les rênes puis mis lentement pied à terre tout en amenant sa main sur le manche de son sabre. Ce dernier, bien qu'encore dans son fourreau se mit à briller sur toute sa longueur.

Saisissant le pommeau de l'arme, elle la sortit pour en admirer la longue courbure effilée. A cette vue, un rictus sadique et cruel éclaira son visage : elle voyait déjà le sang s'égoutter par la pointe dès qu'elle en aurait fini avec ses poursuivants.

Petit jeu de role

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du 
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant " 
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en 
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne 
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses 
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux. 
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait 
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors qu'a la table proche : 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un 
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges 
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons 
blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on
va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

Plus agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et, 
sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira 
vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

Tout a coup elle fit volte face, sentant une présence derrière elle.........

Les malandrins, ayant pris l'attitude désinvolte de la demoiselle pour une grave insulte, s'étaient lancés à sa poursuite. Bien que grossier et mal équipés, ils ne manquaient visiblement pas de ressources... Du moins pour poursuivre un gibier facile d'accès en apparence.

Le temps pressait mais elle savait qu'ils ne l'a laisserait pas filer sans obtenir un menu butin ou le souvenir de quelques bons instants. Elle tira sur les rênes puis mis lentement pied à terre tout en amenant sa main sur le manche de son sabre. Ce dernier, bien qu'encore dans son fourreau se mit à briller sur toute sa longueur.

Saisissant le pommeau de l'arme, elle la sortit pour en admirer la longue courbure effilée. A cette vue, un rictus sadique et cruel éclaira son visage : elle voyait déjà le sang s'égoutter par la pointe dès qu'elle en aurait fini avec ses poursuivants.

D'une tape elle éloigna son cheval et se mit en garde basse. Les vilains ne ralentirent même pas. Le premier contact se déroula comme au ralentit pour elle. Son premier opposant abbatit sa grossière épée longue dans un large mouvement.

Petit jeu de role

La pièce était éclairée par mille chandeliers, la lueur des
flammes vacillantes faisait penser à des citrines qui dansaient sur les
murs de couleur blanc crème....
La complainte d'un violon emplissait le lieu, mélodie inconnue, ou oubliée au fil des âges..
L'homme sur l'estrade avait ses plus fidèles amis a l'écoute de ses mélodies quand.....

plonk ... le bruit d'une corde qui se détend ...

Des sourires apparurent sur les lèvres des convives mais personne ne ricana ou ne prononça une parole.
L'homme posa délicatement son violon sur le sol et sa voix mélodieuse et cristalline commença à emplir la pièce devant les convives médusés.

La femme encapuchonné regardait l'homme d'un air froid. Il se dégageait de son regard haine et mépris.
Ses mains fines et déliées pianotaient sur la table striée de runes, un rythme de mort

Des gouttes de sueurs perlaient sur le front de l'Homme alors que son chant devenait de plus en plus incertain et chaotique.
Il sentait malgré lui le regard de cette mystérieuse femme le transpercer.
Soudain, La porte s'ouvrit dans un grand fracas !

Le troubadour arrêta son chant et l'assemblée toute entière se tourna vers l'arrivante les yeux remplis d'effroi, pendant que l'air glacial du
dehors balayait la salle et soufflait la plupart des bougies.

Un capuchon se rabattit très vite sur le visage de la femme attablée qui cessa du même coup son staccato mortel

L'arrivante tapa de son bâton orné sur le sol, faisant jaillir des flammes qui rampèrent sur le sol.

L'agitation pris aussi vite que le feu sur le bois sec de l'estrade,
mais la femme dissimulé sous sa capuche semblait garder un sang froid à toutes épreuves.

La nouvelle venue balaya du regard la salle et s'avança vers la femme au regard de glace, un sourire amusé aux lèvres...

Le troubadour sentit qu'il était temps pour lui de s'esquiver et fit deux pas sur le côté

Ces lueurs écarlates dansant sur le sol étaient magnifiques.

Mais l'effrayant spectacle laissait place à une scène plus cruciale : la femme qui venait d'arriver pris la parole.

"Foutredieu, que se passe t il ici ? Quelle ambiance morbide! Tavernier, à boire pour tout le monde, c'est elle qui régale"
En disant ces mots, elle tendit son index vers la femme attablée


Le tavernier s'exécuta et apporta deux verres de vin, que nos deux compères sifflèrent comme s'il s'agissait de petit lait. ...

En regardant de biais le troubadour, sa voix rompit le silence pesant "
alors Drusie... que fais tu dans ce taudis de bas étage ?"

Et Drusie rétorqua " je suis a la recherche de renseignement INCOGNITO et surtout DISCRET ! "

dans le miroir du bar , l'une d'entre elle observa le troubadour en
conversation dans le fond de la salle avec une personne dont on ne
voyait que l'ombre éclairé a la bougie

Sous la pression de ses
doigts fins mais râblés, son verre se brisa en de multiples cristaux.
L'homme dans l'ombre la fixa du regard, elle comprit que sa vie venait
de basculer.

Soudainement, l'ombre s’évanouit, puis l'on entendit une porte claquer. Les deux femmes se regardèrent.

Alors qu'a la table proche : 'Non, tu ne peux pas être une selle, tu es un
Kelari, et un Kelari Necromancien! Pas une selle! Mais dit lui toi...'

Sans préter attention au débat bien arrosé de la banquette voisine, elle se précipita hors de la taverne du champ de pierre, sauta d'un geste habile et précis sur son destrier de fer. On entendit que quelques instants les sabots d'une monture filant au triple galop vers les gorges
écarlates.

Dans sa course effrénée, elle sentait les ombres se refermer sur elle. Arriverait elle à temps ?

L'immense faille couleur or et azur se dressait au loin devant elle. Y parviendrait elle seule ?

C'est là qu'a l'orée du bois, qui bordé la zone. Elle vue cette troupes d'aventurier.......

Le premier s'écria : "Hey les gars , Visez moi un peu cette minette !!!"

Nullement impressionnée, elle leur dit : "Au lieu de me regarder les miches, tournez vous et regardez !"
Elle accompagna ses paroles d'un mouvement de tête impérieux désignant l'horizon.

son geste fut rapidement accompagné de rires gras, "Hey donzelle, tu sais a qui'k'tu cause? On est pas vraiment l'genre à ch'vaucher des canassons
blancs et à sauver des p'tit cul d'princesses ! *MOUAHAHAHAHHA* et qu'on
va t’apprend' un peu la politesse... PAS VRAI LES GARS ?"

Plus agacée que surprise par la répartie débilitante du type sale et mal dégrossi, elle évalua rapidement les détails du ravin en contrebas et,
sans un regard pour les culs-terreux s'esclaffant sottement, elle tira
vivement sur les rênes de son destrier. L'animal, lui obéissant en toute confiance, se mit à bondir de roche en roche jusqu'à arriver au fond de la vallée. De la, elle continua sa route vers l'ascenseur.

Tout a coup elle fit volte face, sentant une présence derrière elle.........

Les malandrins, ayant pris l'attitude désinvolte de la demoiselle pour une grave insulte, s'étaient lancés à sa poursuite. Bien que grossier et mal équipés, ils ne manquaient visiblement pas de ressources... Du moins pour poursuivre un gibier facile d'accès en apparence.

Le temps pressait mais elle savait qu'ils ne l'a laisserait pas filer sans obtenir un menu butin ou le souvenir de quelques bons instants. Elle tira sur les rênes puis mis lentement pied à terre tout en amenant sa main sur le manche de son sabre. Ce dernier, bien qu'encore dans son fourreau se mit à briller sur toute sa longueur.

Saisissant le pommeau de l'arme, elle la sortit pour en admirer la longue courbure effilée. A cette vue, un rictus sadique et cruel éclaira son visage : elle voyait déjà le sang s'égoutter par la pointe dès qu'elle en aurait fini avec ses poursuivants.

D'une tape elle éloigna son cheval et se mit en garde basse. Les vilains ne ralentirent même pas. Le premier contact se déroula comme au ralentit pour elle. Son premier opposant abbatit sa grossière épée longue dans un large mouvement.

Mouvement qui ne fendit rien d'autre que l'air nauséabond que dégageait les mandarins. L'assaillant ne vit pas la fin de son mouvement, son corps s'effondra sur lui même. La riposte fut d'une telle célérité qu'il fallu plusieurs interminables secondes aux malfrats pour comprendre la nature de la blessure mortelle, et que leur sort était scellé.

(vu la longueur du texte je pense qu'il serait bon d'arreter le copier coller et de modifier le premier post)

Elle terminat sa danse mortelle dans une pirouette et avec un mouvement vif ejecta le sang ruisselant sur sa lame et la rengainat. A cet instant les brigants s'effondrèrent tous d'un bloc.

Elvraenir a écrit:

(vu la longueur du texte je pense qu'il serait bon d'arreter le copier coller et de modifier le premier post)

Elle terminat sa danse mortelle dans une pirouette et avec un mouvement vif ejecta le sang ruisselant sur sa lame et la rengainat. A cet instant les brigants s'effondrèrent tous d'un bloc.

Elle remarqua, sur un rocher, une silhouette, qui de sa position n'avait rien perdu de la scène. L'ombre lui dit : "Je vois que tu n'a rien perdu de mon entrainement !".

Elle terminat sa danse mortelle dans une pirouette et avec un mouvement vif ejecta le sang ruisselant sur sa lame et la rengainat. A cet instant les brigants s'effondrèrent tous d'un bloc.

Elle remarqua, sur un rocher, une silhouette, qui de sa position n'avait rien perdu de la scène. L'ombre lui dit : "Je vois que tu n'a rien perdu de mon entrainement !"

Ces mots furent accompagnés d'un silence glacial. L'ombre se leva, avança de quelques pas et écarta sa longue cape. Deux immenses poignards serties de diamant venant de la mine de Couprofond annonçaient le programme à suivre. Les mandarins n'avaient été que de simples pions sur un échiquier dont ils n'avaient jamais imaginés les règles.

Ces mots furent accompagnés d'un silence glacial. L'ombre se leva, avança de quelques pas et écarta sa longue cape. Deux immenses poignards serties de diamant venant de la mine de Couprofond annonçaient le programme à suivre. Les mandarins n'avaient été que de simples pions sur un échiquier dont ils n'avaient jamais imaginés les règles.

Le vent glacial soufflait de manière sinistre dans les branches des arbres. La cape de l'inconnu claqua contre ses jambes et les cheveux de la guerrière semblaient animés d'une vie propre alors que les adversaires s'analysaient mutuellement. Elle dégainat une main gauche à la garde finement ouvragée en plus de son sabre à opposer contre les longue dagues. Puis le vent s'arretat de souffler. L'instant suivant vit les deux adversaires foncer l'un vers l'autre à une vitesse fulgurante, leurs  lames bougeaient si vite qu'on ne les distinguait pas, des étincelles jaillirent lors de leurs rencontre.

Elle manœuvrait ses armes en une débauche de parades tourbillonnantes qui, peu à peu, par de subtiles altérations de position, passaient de la défense à l’attaque, jusqu’à faire reculer l’inconnu qui lui fit ses compliments tout en passant par-dessus le corps d'un des brigands abattu.